championnat du monde de trottinette freestyle 2020

LeBmx. Le BMX (Bicycle motocross) est un sport cycliste extrême, physique, technique et spectaculaire. Il est divisé en deux catégories : la Race où les rideurs font la course, et le Freestyle où les rideurs font des figures (ou tricks en anglais). Les pratiquants de ce sport sont nommés pilotes, bicrosseurs, riders, bmxeurs ou bmxers. Trottinettefreestyle, par marques. Retrouvez ici nos fiches par marques de trottinettes freestyle . MADD GEAR VX5 EXTREME SILVER COMMANDER SUR AMAZON. BLUNT PRODIGY 3juniors du SCA 2000 représentaient la France lors des Championnats du monde U20 au Kenya. les cours de freestyle ont lieu le samedi de 9h15 à 10h15 à la Patinoire François Le Comte. A noter également la participation aux Championnats de France de Madeleine L'HOIST licenciée au SCA 2000 Evry dans la seule équipe de patinage Dumercredi 25 au dimanche 29 mai, les compétitions vont s'enchaîner, sous les yeux des milliers de spectateurs du monde entier, attendus pour célébrer en grande pompe ce 25e anniversaire. MaximeRoux. Maxime Roux, Wakeboarder de 17 ans est un jeune talent, sportif depuis ses 5 ans et sportif de haut niveau depuis 2015. Il pratique assidûment le Wakeboard Boat et le Wakebaord Câble au club nautique de Cajarc, son lieu d’entraînement. Plusieurs fois médaillé, notamment Boat World Champion and Cable European Champion IWWF en nonton film suzzanna bernapas dalam kubur full movie lk21. Nantes accueille les 13 et 14 avril le Freestyle Scooter Contest. Une compétition qui réunit trotiriders amateurs et professionnels, ces adeptes de figures freestyles en trottinette !Le Freestyle Scooter ?Oui, la trottinette est un sport extrême ! Autrefois jouet pour enfant, puis moyen de transport pour petits trajets, la trottinette est aujourd’hui utilisée pour la pratique du freestyle, au même titre que le BMX ou le skateboard. Après avoir émergé aux États-Unis et en Australie, la discipline a débarqué en Europe au début des années 2000. Encore en pleine croissance, la trottinette freestyle, que les aficionados appellent par son terme anglais “scooter” pour lui donner plus de virilité, ne cesse de se développer. Les riders poursuivent la recherche de nouvelles figures pour imposer la discipline dans la grande famille des sports de glisse. Rollers et skates ont du souci à se faire !EconomieTop 10 les plus gros transferts de l'histoire du mercato d'hiver23/12/2016 À 0913De quoi s’agit-il ?Près de 500 riders ont rendez-vous les 13 et 14 avril dans le plus grand skatepark indoor de France, le Hangar à Nantes, complexe de 5 300m². Après une première édition encourageante, les organisateurs remettent le couvert avec le Volume 2 de ce Freestyle Scooter Contest, compétition internationale membre de l’ISA International Scooter Association. Les qualifications le samedi, les finales le dimanche un jury composé d’experts dans le milieu de la trottinette se chargera de juger la performance des riders, prenant en compte leur style, leur aisance, la difficulté et l’enchaînement des tricks figures de voltige ainsi que l’amplitude empruntée et la créativité dévoilée. En plus de la compétition, un village exposant 15 stands sera installé, permettant au riders comme au public de s’équiper et de découvrir les nouveautés. De quoi passer un week-end fun et freestyle !Pourquoi ça marche ?Le temps d’un week-end, la petite communauté de la trottinette freeride, amateurs comme professionnels, va pouvoir s’affronter et échanger. L’occasion est belle donc pour les novices de rencontrer la centaine de riders professionnels venus de toute l’Europe, des USA et d’Australie. Parmi eux, Rémi Bouchard, Kevin Boulom ou encore Eliott millions d’euros en jeu lors du prochain Open d’Australie22/12/2016 À 0646EconomieLa NBA est toujours la ligue sportive qui paye le mieux en Amérique du Nord22/12/2016 À 0644 Apparu en France au milieu des années 60 comme une forme de surf de rue, la pratique a évolué au grès des innovations techniques. A la fin des années 80, le détournement du mobilier urbain et l’utilisation de bassins asséchés ont donné naissance à deux disciplines le Street et le Bowl. Une nouvelle étape dans le développement de ces sports vient d’être franchie avec leur inscription au programme des JO de Tokyo en 2020. Le roller freestyle trouve ses origines dans la rue avec le quad patin traditionnel. Les pratiquants s’inspiraient des figures de glisse du skateboard sur le mobilier urbain, tout en développant une activité beaucoup plus acrobatique dans les airs. L'arrivée du roller en ligne au milieu des années 90 a permis de créer de nouvelles figures, de gagner en stabilité, en amplitude de saut, en vitesse et en glisse. Après 20 années d’organisation privée, les premiers championnats du monde de street se sont déroulés en 2017 et ouvrent une nouvelle aire pour ce sport. Les roues de grande dimension facilitent les grandes prises de vitesse, et les pneus favorisent l’amorti des chocs. Le BMX freestyle est la discipline la plus aérienne et spectaculaire. A l’instar du skateboard et du roller, cette discipline d’abord organisée par le secteur privé se structure. L’Union Cycliste Internationale a officialisé les premiers championnats du monde en 2016, et l’épreuve du park sera présente aux JO à partir de simple jeu d’enfant au mode de déplacement dans les années 2000, la trottinette freestyle a littéralement envahi les skateparks depuis que des modèles spécialisés ont été commercialisés. En 10 ans, ses pratiquants ont repris les codes et figures des 3 autres sports. Ce sport s’exprime aussi bien sur les petits modules du skateboard pour la glisse et les manœuvres que sur les gros modules du roller et du BMX pour les acrobaties. Comme il est également très accessible, rien d’étonnant à ce que les trotti-riders représentent à eux seuls plus de la moitié des utilisateurs dans l’ensemble des skateparks. Demande de skatepark mairieNotre défi est de vous aider à créer des aménagements populaires,sportifs, sûrs et valorisés par la tout conseil ou réalisation de projet, contactez notre Chef de produit Léa id="content_mi8pdq3vs,column_content_xzq4v0wz8" button_text_color="ffffff" button_font="regular" button_font_size="13px" button_width="auto" button_alignment="center" button_text_spacing="1px" button_bg_color="transparent" button_padding="15px 30px 15px 30px" button_border_width="1px" button_border_color="ffffff" button_border_radius="0px" button_text_hover_color="ffffff" button_text_spacing_hover="2px" button_bg_hover_color="transparent" button_border_hover_color="ffffff" button_link="/demande-park-mairie/" button_link_type="url" button_link_target="_self" has_container="" in_column="1"]en savoir plus[/ce_button] Evolutif et sécurisantEntre le jeu de la concurrence qui a longtemps poussé les fabricants de skateparks à sous-dimensionner les modules, et le manque de temps consacré à la cohérence des aménagements, la réputation du modulaire s’est dégradée. Pourtant cette solution est nécessaire pour réduire les chocs et favoriser l’apprentissage des acrobaties en toute gamme SUNSET est développée en conséquence autour de deux engagements forts Les dimensions de nos modules sont réfléchies pour garantir leur modules sont facilement combinables entre eux pour permettre des synergies et garantir un maximum de optimale et durabilitéLe béton offre une homogénéité de surface entre les modules et le sol particulièrement apprécié des pratiquants, et il favorise la réalisation des formes les plus complexes. Pour cette solution, nous nous appuyons sur CONCRETE, le leader allemand du skatepark en béton préfabriqué, dont le catalogue très fourni permet de personnaliser facilement vos réalisant ses modules en atelier, il s’affranchit des risques d’intempérie et assure un séchage optimal, la garantie d’une qualité de béton irréprochable et très compléter les aménagements en périphérie des skateparks, nous proposons également une gamme de mobilier sportif en béton préfabriqué BLOCPARC. Indestructible et combinable à l’infini, ce mobilier multifonctionnel est parfaitement adapté pour l’apprentissage des glisses urbaines. Intégré et sur mesureCertains concepts se prêtent mieux à une réalisation sur site, c’est par exemple le cas des bowls ou des pumptracks. En effet, ces aménagements optimisés pour la vitesse et les trajectoires nécessitent des surfaces parfaitement lissées pour réduire les risques de brûlures en cas de chute, tout en épousant les formes du terrain sur lequel ils s’implantent. Par définition, pour s’adapter à votre site et votre public, les réalisations in-situ font toutes l’objet d’un projet préalable réalisé sur simple demande par notre bureau d’ techniques des solutions, qualité du support, norme…[unex_ce_button id="content_cgey6we67,column_content_xzq4v0wz8" button_text_color="ffffff" button_font="regular" button_font_size="13px" button_width="auto" button_alignment="center" button_text_spacing="1px" button_bg_color="transparent" button_padding="15px 30px 15px 30px" button_border_width="1px" button_border_color="ffffff" button_border_radius="0px" button_text_hover_color="ffffff" button_text_spacing_hover="2px" button_bg_hover_color="transparent" button_border_hover_color="ffffff" button_link="/technique/" button_link_type="url" button_link_target="_self" has_container="" in_column="1"]en savoir plus[/ce_button] Rideuse philosophe, plus artiste que casse-cou, cette multi-championne du monde et de France de BMX Race, 31 ans au compteur, s’éclate aujourd’hui en Freestyle. Première Championne de France de la discipline, Magalie Pottier excelle dans la maîtrise de son vélo, mais aussi de son mental. Favorite, elle prenait le départ ce week-end pour les Championnats de France. Et d’ouvrir la voie pour les futures rideuses dans une discipline en pleine envolée. Par Claire Bonnot  Publié le 06 décembre 2020 à 15h27, mis à jour le 29 juillet 2021 à 14h37 Tu cumules une carrière de championne dans le BMX racing et un début fulgurant dans le BMX Freestyle avec ton titre de Championne de France en 2019, c’est quoi ton histoire avec le vélo ? C’est assez simple, en fait. J’ai commencé à pédaler pour jouer avec mes deux grands frères qui faisaient du BMX. C’était un vrai bonheur pour moi de partager, en famille, ce sport qui me plaisait tant. J’ai donc commencé par le BMX racing à haut niveau pendant dix ans. Mon parcours m’a amenée à être double championne du monde juniors en racing et Cruiser puis Championne du monde Cruiser chez les élites. J’ai connu une belle année, en 2012, avec mes titres de Championne du monde, Championne de France et ma deuxième place en Coupe du monde. Trois ans plus tard, j’étais médaillée d’argent aux Premiers Jeux Européens de BMX, VTT et cyclisme sur route. J’ai aussi participé aux Jeux Olympiques, j’y étais finaliste ,à Londres en 2012, mais, hélas, pas qualifiée pour les JO de Rio en 2016… ©DR Et t’as eu envie de prendre du recul ? En parallèle, j’ai fait des études de kiné que j’ai terminées en 2017. Je me suis alors demandé si j’allais continuer le BMX à haut niveau. Je pense que j’avais envie d’autre chose. Et c’est à ce moment là que j’ai découvert le BMX Freestyle. C’était lors d’une compétition, ça m’a tout de suite plu ! Le fait de pouvoir avoir son propre style, étant donné que je viens de la race où les choses sont plus codifiées, ça m’a libérée, en quelque sorte. Il y a un côté presque artistique dans le monde du freestyle. On est jugées sur les figures qu’on réalise, leur hauteur, leur originalité et le niveau de difficulté. L’idée, c’est vraiment d’apporter quelque chose de différent des autres compétiteurs. ©DR Ce qui a été parfait pour ma reconversion », c’est qu’avec mon passé de bikeuse en race, je savais ce que je pouvais donner en freestyle j’avais les aptitudes en sauts et en gestion des compétitions de haut niveau. Mais aussi, j’ai pu apprendre de manière très secure », avec un bac à mousse qui te permet de tomber sans craindre de te faire mal ou une bosse en résille pour une réception souple. Ensuite, tu passes sur le dur, sur le park en modules de bois ou en béton. Le BMX Freestyle est une discipline qui existe depuis les années 1970-1980 et qui a démarré aux États-Unis avant d’arriver en France une dizaine d’années plus tard. Ce sport n’a pas vraiment été reconnu au niveau des Fédérations en France jusqu’au moment où la discipline a accédé à l’olympisme, en 2017 pour les JO de 2020. ©DR Qu’est-ce qui t’a plu dans ce sport extrême et presque artistique qu’est le BMX Freestyle ? La première chose qui m’a enthousiasmée, ça a été l’ambiance. Chaque année, à Montpellier, se déroule le Festival International des Sports Extrêmes FISE pendant toute une semaine. Il se termine par le BMX qui est la discipline phare, c’est un événement au cœur de la ville, le dimanche soir, et l’ambiance est géniale. C’est en 2017 que j’y ai découvert la discipline freestyle. Puis, je me suis laissée tenter, au mois d’août, lors des Journées Olympiques. J’y découvrais une démonstration complètement dingue de freestyle entre le Petit et le Grand Palais et qui m’a permis de rencontrer l’équipe de France. Un des athlètes m’a proposé d’essayer. Et je me suis lancée ! J’étais à des années lumières de penser que je me tournerais un jour vers le BMX Freestyle mais ça a muri en moi. J’avais pris une année sabbatique en 2017 et je me suis mise au Freestyle un an plus tard. Je crois, qu’en race, j’avais fait le tour, que j’avais envie de m’amuser et de me mettre au défi de savoir ce que je pouvais donner en freestyle. Le fait que la discipline devienne un sport olympique me tentait aussi beaucoup. Ça pouvait être un bonus dans ma carrière. ©DR Ce qui m’a plu, c’est d’avoir un nouvel espace autour de mon vélo, de me sentir libre et de faire ce que je souhaite. Au contraire du BMX race, tu es seule sur le park et tu peux vraiment créer ton style via les figures qui sont libres. C’est un peu un sport spectacle, il y a une vraie proximité avec le public qui regarde une seule personne évoluer à la fois. En race, huit rideurs s’affrontent sur un terrain. Et puis, en free, il y a un style vestimentaire particulier, très sympa, en mode urbain jean classique avec t-shirt manches longues ou un pull quand il fait froid sans jamais oublier le casque intégral. ©DR En 2019, tu remportes le premier titre de championne de France de l’histoire de la discipline, qu’est-ce que tu as ressenti ? Ça a été une vraie surprise parce que je venais presque de débuter dans la discipline et, en même temps, c’était une suite logique, j’étais vraiment dans un pic de progression ! Le BMX est un sport extrême qui peut être vu comme plutôt réservé aux hommes. Est-ce un milieu ouvert aux femmes ? J’ai deux grands frères qui m’ont toujours aidée et soutenue dans ma pratique. Donc je me suis toujours sentie à l’aise dans une discipline qui n’est pas forcément peuplée de pratiquantes. Mais le fait que la race soit discipline olympique depuis 2008 a fait son petit effet auprès des filles. Sinon, je n’ai jamais vraiment senti de grosses différences entre les garçons et les filles. Je n’ai, de plus, jamais eu à faire à des commentaires au sujet de ma pratique féminine peut-être parce que j’avais la protection de mes frères… ou tout simplement parce que je dégageais une confiance en moi et une légitimité ! Je trouve qu’évoluer dans un milieu de mecs » tire vers le haut. La plupart du temps, les garçons encouragent les filles et peuvent devenir des modèles, des exemples. Moi, je suis totalement pour ce partage d’expériences et de vie en fait. Le respect est primordial dans le sport, ça permet de profiter à fond de la vie et d’avancer ! ©DR Après, dans le haut niveau, le plus dur sur le plan des différences hommes-femmes, c’est l’inégalité des primes, ça me rend dingue ! L’UCI Union Cycliste Internationale équilibre désormais en race, mais ce n’est pas le cas dans les compétitions nationales et, en Free, on est à des années lumières de l’équité. Ça me rend folle parce qu’on s’investit tout autant à l’entraînement et lors des compétitions à haut-niveau ! Cette totale implication des rideuses n’est pas assez mise en avant. J’aimerais vraiment avoir un impact sur cette nécessité d’instaurer l’égalité salariale entre les athlètes ! ©DR Enfin, oui, c’est une discipline extrême, mais aujourd’hui, on a tout pour apprendre progressivement au niveau des infrastructures on apprend dans la mousse, par exemple et via des clubs qui se montent de plus en plus. Avec les Jeux Olympiques 2021 en ligne de mire, l’impact médiatique attirera de plus en plus de rideuses. À l’heure actuelle, nous ne sommes pas très nombreuses à avoir un niveau international – cinq Françaises seulement -, par contre il y a beaucoup de filles très fortes qui pratiquent sans vouloir forcément faire de la compétition. Aujourd’hui, la filière du haut niveau côté féminin se développe nettement, grâce aux fédérations. Au Pôle France, on est deux filles actuellement et plus la discipline va se développer, plus la présence féminine va augmenter. On n’hésite pas non plus à jouer sur la transversalité dans ce sport moi, par exemple, je viens de la race, je sers ainsi d’exemple pour toutes les filles qui font d’autres sports qui se rapprochent de la pratique du Freestyle, comme la trottinette ou le roller. L’un des meilleurs en BMX aujourd’hui, par exemple, est Anthony Jeanjean qui vient du break dance… ©DR Tu n’as jamais eu peur en BMX ? Je n’ai jamais eu de grosses blessures en réalité, je n’ai jamais été opérée. J’ai seulement eu quelques fractures lors des Championnats du monde l’an dernier. J’avais appris le backflip, je le passais aux entraînements mais, la deuxième fois, je me suis cassé la main et ouvert le genou. J’ai quand même sept points de sutures à la suite de ça… Je me suis demandée si j’allais arrêter la compét’, mais comme il était encore possible de se qualifier lors d’un deuxième tour, je me suis motivée. Aussi parce que je ne voulais pas rester sur une chute. J’ai fait comme j’ai pu pour reprendre le guidon quelques temps après pour cette nouvelle qualification. Mentalement, c’était encourageant de passer ce cap. Dans tous les cas, dès que je me blesse, je prends le temps de me soigner. C’est rare que je force. Sauf si je sens que je peux poursuivre la saison de compétitions et que je récupère derrière. ©Mickael Bedos Comment vis-tu le sport de haut niveau sur le plan du mental ? J’ai déjà eu un préparateur mental de 2008 à 2012 quand je faisais du BMX racing et l’an dernier, pour le Freestyle, je suis allée voir un psychologue au CREPS. Chacun a ses outils, tu apprends des uns et des autres en voyant ce qui est le mieux adapté pour toi, c’est hyper intéressant. Je crois que c’est aussi l’expérience qui forge le mental du compétiteur de haut niveau, notamment lors des compétitions. En tout cas, il est essentiel d’avoir un équilibre. Surtout pour les JO où tu peux vite te perdre… Et même si tu gagnes, il faut être prudent car ça suscite forcément des émotions fortes et uniques, tu peux partir en live… Moi, je me pose toujours beaucoup de questions, j’oscille, mais j’essaye de faire la part des choses. Aujourd’hui, j’ai des outils que je sais utiliser au bon moment, quand j’en ai besoin. Dans ce cadre, le collectif m’aide énormément. C’est dans mon éducation, je ne pourrais pas faire du sport sans le partager ! Quand je vais moins bien, je sais que le groupe ou les entraîneurs pourront me remonter. ©DR Quel est ton point fort en BMX Freestyle ? Au niveau du mental, je dirais que c’est vraiment la gestion des compétitions, Sur un événement, logiquement, je saurai toujours me débrouiller à être à mon meilleur niveau et à réussir à le maintenir tout au long du contest. Côté atouts physiques, j’ai l’expérience – je suis trentenaire – et donc tout un schéma intégré de préparations physiques et un physique déjà développé en ce sens. Le seul point faible à mon âge, c’est que j’ai beaucoup plus conscience du risque qu’auparavant et que si j’ai tendance à trop m’écouter, je vais avoir peur du risque. Côté technique, j’ai une aptitude à rouler dans les gros parks de format olympique, j’arrive à tenir les runs, à bien manier mon vélo dans les gros modules et à faire les walls. Actuellement, je travaille encore ma pratique des figures comme le backflip mais sinon je fais des tours de guidon, des lâchers d’appui et des rotations ©DR Quels sont les moments sportifs de ta carrière qui t’ont propulsée bien haut et ceux qui ont entraîné une gamelle qui t’a finalement fait raccrocher le guidon ? Je crois vraiment que les événements internationaux tels que les Championnats du monde ou les Jeux Olympiques ont été un tremplin. Ça fait voyager en dehors de son cadre, tu découvres d’autres gens, d’autres coutumes, tu développes des liens nouveaux. En dehors de la performance pure, le sport offre ces superbes opportunités de rencontres qui peuvent changer une vie. Ce sont de grands moments à part qui font grandir. Il faut aussi pouvoir encaisser la pression et gérer ses émotions. Mais c’est une bonne école ! ©DR Les JO de 2012 ont été un moment inoubliable pour moi. Tous les sports sont réunis en même temps, les sportifs sont au top de leur top, il y a une vraie magie parce que c’est un événement sportif rare. Je me sentais perchée sur une autre planète. Même si je n’ai pas eu de médailles alors que nous avions des chances, l’équipe et moi, j’en ai tiré beaucoup de positif même si j’ai été forcément déçue. Les moments que j’ai moins bien vécus, c’est dur à dire, parce que j’apprécie tout en soi, même si je gagne, même si je perds. Quand tu perds et que tu prends du recul, tu vas t’en servir après dans ta vie de tous les jours. Dans le sport, il y aura toujours de bons et de mauvais moments, qui te tireront toujours vers le haut si tu parviens à les digérer. Ça te forge un caractère, ça te solidifie ! ©DR Avec une saison sacrifiée par la Covid, comment as-tu vécu les confinements ? Ça m’a vraiment permis de voir ce dont j’avais besoin. La solitude m’a permis de me recentrer, je me suis vraiment rendu compte que j’avais besoin de partager le sport. J’ai beau aimer préserver mon espace personnel, mon équilibre passe aussi par les autres. Sinon, j’ai essayé d’optimiser cette période, je me suis adaptée un peu comme on doit toujours le faire avec les aléas qui surgissent en compétition. Tu ressens quoi lorsque tu t’engages dans une démonstration de freestyle ? En fait, ce qui est génial avec le freestyle, c’est que je redécouvre le vélo… comme si j’avais dix ans ! Même si mes deux disciplines sont différentes, elles se complètent en trouvant un nouveau riding avec le freestyle, j’ai trouvé de quoi m’amuser avec tous ces sauts en l’air, en race, je le vis comme un bonus, j’ai tout à y gagner ! Je me sens vraiment bien parce que je ne me mets pas de grosse pression par rapport à une carrière. Je ride, je m’amuse. Mais je le fais sérieusement car je m’engage dans ce sport. Si j’ai toujours du stress aujourd’hui, même avec ce versant plus fun et plus libre du freestyle, j’arrive à identifier le bon stress et à activer ou à désactiver en fonction. Je vais jouer sur la respiration, par exemple, ou me faire un dialogue interne positif. Si je suis carrément dans le mou, mais c’est plus rare, je fais tout pour me motiver ! ©FISE Mag Pourrais-tu devenir pilote professionnelle ? Pour moi, le freestyle, c’est vraiment un bonus dans ma carrière, je n’ai pas envie d’aller chercher des sponsors… En race déjà, je gagnais pas trop bien ma vie, la meilleure rétribution que j’ai eue, c’est 500 euros par mois. Aujourd’hui, c’est la Fédération qui nous soutient avec des aides individualisées en fonction de notre potentiel. On est classés sur liste. Pour la suite de mon avenir professionnel, je me pose un peu la question… Comme j’ai un diplôme de kiné, je pratique actuellement en tant que remplaçante. Je suis quelques athlètes au CREPS dans des disciplines différentes de la mienne nage en eau libre, break dance et VTT cross-country. Je passe actuellement un diplôme pour pouvoir encadrer les sportifs aussi. J’aurai ainsi plusieurs cordes à mon arc. L’idée est de transmettre, tant dans la race que dans le freestyle. ©DR Le BMX Freestyle est une toute nouvelle discipline olympique depuis 2020 et sera donc aux JO de Tokyo en 2021. Tu y seras ? On en est au stade de qualifications chez les filles – les garçons y vont – et on attend actuellement le calendrier. On devrait avoir deux Coupes du monde qui nous permettraient de nous qualifier. Si ça passe pas, on aura toujours avancé et on se préparera pour 2024. En tout cas, si on part aux JO en 2021, on donnera tout ! Moi, j’ai déjà l’expérience d’avoir vécu les Jeux donc, c’est un avantage et une force. Quel est ton plus grand rêve sportif ? Le rêve absolu, c’est une médaille olympique… Outre ce Graal, je veux surtout réussir à donner le meilleur de moi-même sur un vélo, faire le maximum de ce que je peux faire et, surtout dans cette discipline, continuer de m’amuser ! ©DR Que dirais-tu à des jeunes femmes qui n’osent pas se lancer dans le sport ou dans un sport qui peut les effrayer comme le BMX ? Si elles en ont envie et même si elles ont peur, il faut essayer ! Et puis ne pas hésiter à aller voir d’autres filles qui pratiquent et discuter avec elles pour voir si ça les tente vraiment. Il y a beaucoup de mecs encourageants dans ce sport, il ne faut pas s’arrêter à cette peur du jugement. Moi je n’aurais jamais pensé faire du Freestyle dans ma vie, mais je sais que si je n’avais pas essayé, j’aurais regretté. Pour ne rien regretter, il faut oser ! Championnes, Cyclisme, Égalité des sexes, Jeux Olympiques, JO 2021, Magalie Pottier Soutenez ÀBLOCK! Aidez-nous à faire bouger les lignes ! 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Des jambes élancées au tonus impressionnant, une course d’une vitesse époustouflante alliée à une grâce d’exécution sans pareille. Cette tornade délicate, c’est Wilma Rudolph, ancienne infirme devenue athlète à 20 ans. Elle remportera trois médailles d’or au sprint. Surnommée la Gazelle Noire », elle s’est bâti une destinée de légende à la force de ses jambes et de son mental d’acier. Lire plus » Emelie Forsberg et Kilian Jornet, les amoureux fous du trail Pour les adeptes de courses extrêmes, ils sont quasiment des icônes. Vivre et Courir » tel est le credo du couple star du trail-running, Kilian Jornet et Emelie Forsberg. Parents de deux petites filles -la première est déjà embarquée dans leurs excursions montagnardes, ces runners que rien n’arrête vivent une vie presque paisible dans leur ferme de Norvège. Mais, méfiez-vous du traileur qui dort… Lire plus » Best-of 2021, la totale ÀBLOCK! Avez-vous été ÀBLOCK! cette année ? Que s’est-il passé en 2021 dans nos colonnes ? Vous avez loupé quelque chose ? Attention, séance de rattrapage, voici donc le Best-of des Best-of de cette fin d’année. Enjoy ! Lire plus » Yoga le Top 10 du parfait yogi Applis relaxantes, podcasts ressourçants, cours en ligne boostants, bouquins inspirants, ÀBLOCK! a sélectionné tout ce qu’il faut pour passer une Journée Mondiale du Yoga en 100 % yogi ce dimanche 21 juin. On active le mode Namasté » ! Lire plus » Il était une fois le MMA… féminin Le MMA s’organise. Légalisé il y a deux ans en France, le ministère des Sports vient de confirmer son affiliation à la Fédération française de boxe. La deuxième édition des Championnats de France devrait avoir lieu à la fin de l’année et ses moyens renforcés. Une occasion en or pour cette discipline d’Arts Martiaux Mixtes de restaurer une réputation sulfureuse. Mais qui sont les premières combattantes à s’être battues pour avoir le droit d’entrer dans la cage ? Lire plus » Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine Une nageuse qui a failli voir ses rêves d’Olympiades brisés, une autre devenue une légende des JO la grande Greta Andersen sur notre photo, une patineuse tous terrains, une pionnière du vélo, une athlète qui enquille les kilomètres, un podcast, notre première question qui tue » et des initiatives pour être ablockensemble, prêts à cliquer ? Lire plus » Laura Flessel 5 infos pour briller à l’épée Celle que l’on surnomme “la Guêpe” pour sa vitesse d’exécution et la précision de ses coups a marqué l’histoire grâce à sa spécificité de toucher ses adversaires aux pieds mais surtout grâce à son palmarès plus qu’impressionnant. Laura Flessel a pris sa retraite sportive en 2012, s’est frottée brièvement à la politique en 2017 avec un passage éclair au ministère des Sports, et demeure toujours très appréciée du public. Retour sur les 5 grandes dates de sa carrière d’escrimeuse. 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Mais France tv sport suit évidemment l'actu sportive tout au long de l'année, avec la Coupe de France de football, les championnats européens de rugby, le XV de France et plus de 80 sports, au féminin et au masculin, sur les antennes de France télévisions ou en exclusivité numérique sur France tv sport. La France à l'honneur avec Roland-Garros et le Tour de FranceLe cyclisme, avec en point d'orgue le Tour de France, occupe une grande partie de la saison, avec la diffusion de nombreuses classiques, dont Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège ou encore l'Amstel Gold Race. D'autres courses à étapes mythiques, comme Paris-Nice et le Critérium du Dauphiné, sont à suivre chaque année sur nos antennes, ainsi que les championnats du Monde en fin de saison. Le tennis est grandement représenté grâce à Roland-Garros, diffusé depuis plus de 30 ans sur France Télévisions. Depuis 2004 et son premier sacre, les fans de sport vivent l'ère dorée de Rafael Nadal, déjà titré à 12 reprises avec l'édition 2021 à suivre du lundi 1- mai au dimanche 5 juin 2022 sur nos antennes. Le reportage, au coeur de l'offre sportStade 2, Tout Le Sport, Rencontres à XV vivez au rythme des reportages de nos émissions quotidiennes et hebdomadaires. L’ISA a été créée en 2011 pour élaborer des normes, des règles, des règlements et des structures de qualification afin de légitimer la pratique du trottinette comme un sport. Avant l’ISA, il n’y avait pas de championnat du monde de trottinette freestyle officiellement reconnu, car il n’y avait pas d’organisme international de régie. L’ISA a été créée pour cette raison précise, afin de devenir une organisation impartiale qui créerait la scène mondiale officielle de ce sport pour que les cavaliers professionnels puissent présenter leur sport à des millions de personnes dans le Combien gagnent les patineurs freestyle professionnels ? Revenus de Tanner Gains de Dakota Schuetz3 Quand les trottinettes professionnels ont-ils été inventés ?Les premiers championnats du monde officiels de trottinette freestyle ont eu lieu à Evolution Extreme, à Deeside, au Pays de Galles, en 2012. L’événement a été suivi par environ 500 personnes et a été diffusé en direct à environ 30 000 personnes dans le monde. Les 50 meilleurs cavaliers professionnels du monde se sont réunis pour la première fois dans le cadre d’une série de compétitions de qualification ISA organisées dans le monde entier. Il s’agit d’un tournant majeur pour la pratique du scooter, qui a contribué à élever ce sport au niveau premier champion du monde de trottinette freestyle est Dakota Schuetz Kota.Combien gagnent les patineurs freestyle professionnels ?Avec l’essor de la scène et, en fin de compte, des sports qui y sont pratiqués, de nombreuses grandes marques s’y intéressent. Là où il y a de la popularité et du fandom, il y a de l’argent ! De nombreux scootéristes professionnels, qui acceptaient autrefois de rouler et de représenter des marques pour des pièces gratuites, reconnaissent aujourd’hui leur valeur marchande et commencent à être rémunérés. Bien qu’il n’existe pas de syndicat qui contrôle les salaires versés dans le secteur des scooters professionnels, de nombreuses entreprises sont disposées à payer leurs coureurs l’ère du numérique, alors que les conducteurs de trottinettes attendent toujours une augmentation de salaire pour leurs compétences de conduite, beaucoup prennent les choses en main en se rendant plus commercialisables et en augmentant ainsi leur potentiel de gain. Jetons un coup d’œil à quelques exemples de trottinettes qui ont transformé leurs platines et leurs roues en dollars de différentes de Tanner FoxTanner Fox est le parfait exemple de cyclistes professionnels qui ont été payés ! Ce jeune homme a créé un empire en créant du contenu divertissant sur YouTube. Et tout a commencé par la conduite d’un trottinettes. Nous pensons que la première vidéo qu’il a créée était des figures avec des skateboards flottants au skatepark. Après un certain succès ici, il a réalisé avec son ami Jake Angeles une vidéo sur la chaîne de Jake axée sur les choses que disent les conducteurs de scooters. Les vidéos de ce type fonctionnent parce qu’elles sont adaptées à leur public. Les enfants en trottinettes du monde entier ont pu s’identifier aux différentes blagues de la vidéo, un contenu aussi authentique attire les ses débuts, Tanner a parcouru un long chemin pour devenir non seulement un motocycliste, mais aussi un jeune entrepreneur avec son propre empire, qui comprend la marque T Fox » et des accords de redevance avec Lucky Scooters . Aujourd’hui, Tanner a tout une jolie petite amie, des voitures de luxe et une base de fans fidèles qui regardent ses vidéos quotidiennement. Plus que tout, Tanner a lancé une révolution pour que les enfants puissent créer et faire plus, même à un jeune âge. Approuvé par Tanner, parmi les personnalités liées au trottinette, il est l’un des plus importants et gagne beaucoup d’argent. Nous estimons qu’il deviendra une fourchette à 7 de Dakota SchuetzKota a toujours été présent sur la scène des trottinettes freestyle, depuis ses débuts. Il est sans doute le coureur le plus talentueux de tous les temps. Quand on parle des meilleurs riders, la plupart des gens débattent entre Kota, et Jordan Clark. Après avoir remporté de nombreuses récompenses, notamment des championnats du monde en 2012, 2013 et 2014, Dakota a commencé à réellement construire sa marque en utilisant son talent et son amour pour la prochaine génération en donnant en retour avec les Kota Camp récemment, Dakota s’est associée à District pour lancer la marque Kota. Une ligne de trottinettes brillants et colorés, parfaits pour les jeunes conducteurs, qui inspire le monde entier. Aujourd’hui, Kota est en train de faire des tours dans une GTR à conduite à droite et une Tesla Model X qui ne sont pas bon marché ! Nous estimons que Kota doit gagner un salaire à 6 chiffres par existe un large éventail de moyens de gagner de l’argent en tant que cycliste professionnel. Parmi les plus lucratives, citons le parrainage, la création de contenu YouTube, Instagram, les produits dérivés maillots, prises de courant, etc., votre propre marque par exemple, Kota Scooters. Les coureurs professionnels intelligents combineront tous ces éléments dans une formule et obtiendront le meilleur prix. À l’heure actuelle, le coureur professionnel moyen, avec tout ce qui précède, plus le matériel et les voyages, devrait gagner environ 50 000 dollars par les trottinettes professionnels ont-ils été inventés ?Les trottinettes freestyle professionnels, les scooters cascadeurs ou tout autre nom que l’on peut leur donner aujourd’hui datent de 2008. Cette année est importante car c’est la date à laquelle TSI ou Trick Scooters International a lancé la première plateforme de trottinette en une seule pièce, qui est maintenant la norme de l’industrie à l’exception du Proto Space Deck qui utilise toujours un design en deux pièces.

championnat du monde de trottinette freestyle 2020